LA CONNEXION MÉGALITHIQUE DES CATHÉDRALES ET CHÂTEAUX DES ROIS DE FRANCE.

Préambule :

Cet article n’est pas très pertinent. Il correspond à mes débuts dans ce domaine et ne mérite pas que vous y portiez une attention. Les faits sont mathématiquement exacts, mais il manque des principes directeurs pour savoir ce que l’on cherche. Bien que certains éléments soient probablement exact et révélateurs d’une ancienne science d’occupation de l’espace par les premiers savants astronomes et cartographes, je ne considère plus cet article comme étant pertinent. Même si des tests statistique suggère bien l’existence d’une division en 364 méridiens dans la répartition des cathédrales par exemple.

Si vous n’avez pas le temps de passer 2 heures à regarder la web conférence (qui à disparue du web par ailleurs), je vous propose de retrouver ici les éléments clefs de cette soirée, les découvertes, constats, révélations… appelez les comme vous l’entendez !

En introduction, si vous désirez approfondir votre connaissance de l’architecture sacré des peuples mégalithiques, je vous recommande deux livres incontournables : Principe de la première architecture monumentale de Howard Crowhurst et Les lignes d’or. de Sylvain Tristan qui explique la division de la terre en 366° par les peuples mégalithiques.

La clefs est le méridien sacré d’Alésia.

Cette ligne de 757 km qui part d’Alos en Belgique, et se termine à Alès dans le sud de la France est coupé par des villes importantes : Reims, Troyes, Geugnon, Montbrison. C’est en regardant la distance et les proportions entre les cathédrales de ces villes que ce révèle la compréhension de ce langage géométrique incroyable.

Ligne d'or Alésia

Comment interpréter une ligne avec des encoches symbolisées ici par les cathédrales de ces villes ? Tout simplement en mesurant les distances et les rapports entre ces distances. Et si nous ne parvenons pas à comprendre, nous pouvons utiliser une clef qui consiste à diviser une distance par un nombre universel, et, il y en a deux qui sont de très bons candidats, ce sont les nombres PI (3,1416) et PHIE (1,618).


La distance nord sud entre Alost et Reims (Basilique St Rémi) est de 188,495 km.

Première étape, essayons de voir si cette valeur en km pourrait être le cercle de quelque chose d’important, et donc on va y intégrer le nombre PI :

188,4955 / 3,1416 = 60 km très exactement. C’est curieux, cette ligne est elle codée en base 60, correspondant à la division du temps et du cercle ? Essayons avec 360 degrés d’un cercle ou 3600 secondes.

188,4955 / 360 = 0,5236 km. Diantre, cette valeur, c’est 1000 coudées Égyptienne. Dont je rappel, qu’il existe une relation entre le mètre, PI, la coudée et la base 60, puisqu’un cercle de 1 mètre de diamètre aura un périmètre de 3,1416 mètres, et dont la sixième partie, est la coudée de 0,5236 cm.

Il reste à voir si le nombre d’or peut faire partie de cette logique des savants d’une époque dont nous avons tout oublié. Et en effet :

188,4955 / 1,618 = 116,4991. Cette valeur est le diamètre d’un cercle qui vaut, 116,4991 x 3,1416 = 366, comme les 366 degrés mégalithiques qu’utilisaient nos ancêtres et dont le méridien d’Alésia fait partie comme par hasard.

Voici donc en quelques opérations simples, reposant sur des constantes de l’univers, une preuve de l’existence d’un langage universel qui révèle : l’usage de l’unité métrique, la coudée, la base 60 de la division du temps et du cercle, mais aussi l’usage de la géométrie sacrée à 366°. Une preuve évidente et objective de plus de l’existence d’une connaissance insoupçonnée à une époque très reculée.

Regardons les distances entre Reims et Troyes, mais aussi celle de Gueugnon jusqu’à la colline de Verre d’Alésia.

2016-05-27 13:41:16

Ces deux distances sont de 104,875 km et 104,91 km. Un écart de 35 mètres qui est absorbé sans problème par les dimensions des monuments et de la Montagne de Verre.

Regardons ce que représente cette distance par rapport à un étalon universel qui est la taille de la terre à l’équateur.

40 075,017 / 104,91 = 382. Ce qui veut dire que cette distance est la 382ème partie de l’équateur de la terre. Et alors… et bien cela veut dire que le nombre d’or au carré est intégré dans ce rapport, car l’inverse de 3,82 c’est le nombre d’or au carré.

104,91 / 40 075,017 = 0,002618 ± 0,007%

Un tel concours de circonstance est très surprenant et ne peut pas être le fait du hasard, car ces deux distances identiques sur le même méridien évoquent la même chose en relation avec les dimensions de la terre. Le hasard est peu probable ici encore.


La distance entre Troyes et Alésia : 84,270 km

Depuis la colline de Verre d’Alésia, nous savons que plusieurs lignes en miles visent des points importants comme Stonehenge dont la distance est de 366 miles. Le mile étant l’unité de mesure anglaise, et la valeur de 366 évoquant directement le lien entre les mégalithes et la géométrie secrète à 366° de ces bâtisseurs de mégalithes.

La distance 84,270 km en partant de la colline d’Alésia jusqu’à la cathédrales de Troyes convertie en mile anglais nous donne :

84,270 / 1,609344 = 52,36 miles ± 0,03%, ah ah ah ! Pardi… une référence, encore une fois à cette valeur universelle qui est la coudée Égyptienne des bâtisseurs de la grande pyramide.

GRRRR et alors çà veut dire quoi 52,36 ? C’est un nombre, qui comme PI est une constante mathématique de l’univers. Si l’on plonge une sphère dans un cube dont le coté est égal au diamètre de la sphère, alors la sphère occupera 52,36 % du volume du cube. C’est de la science, tout simplement.

Pour rebondir plus loin, quel est le rapport entre un cercle inscrit dans un carré et notre géométrie mégalithique ? Le périmètre du carré est 1,2732 fois plus grand que le périmètre du cercle. Et comme nos anciens aimaient les nombres, ils avaient aussi compris qu’en fait, le périmètre d’un carré de coté 1 était : 1 + 1/3,66 (1 + 0,2732) fois plus grand qu’un cercle de diamètre 1. (1 + 0,2732). Bref, ce n’est du tout par hasard que l’on retrouve la coudée, le nombre PI, le nombre 366 dans cette géométrie et sur ce méridien sacré. C’est de la science mes amis…. !!! Et remarquons que cela fonctionne aussi avec le rapport de surface entre le cercle et le carré. L’image ci dessous en donne une explication.

2016-05-28 19:04:52

Bref, entre Troyes et la colline de Verre d’Alésia, les bâtisseurs et concepteurs de cette portion de méridien codé, nous montrent qu’ils connaissaient le miles anglais, le mètre, et la coudée… c’est dingue ! Cela peut déstabiliser, je vous l’accorde, c’est dure à admettre si vous n’êtes pas préparé à recevoir ce genre d’information… mais ne vous tracassez pas, si cela vous remue, votre ego s’en remettra !

Et ce n’est pas terminé : Troyes Alésia / Alost Reims

En mettant en relation ces différentes distances nous pouvons découvrir d’autres éléments de la science de ces anciennes cultures. Par exemple, la distance entre Alost et Reims est de 2,236 fois plus grande que la distance entre Troyes et Alésia.

188,495 / 84,270 = 2,236 ± 0,01%

J’ai le sentiment que ce nombre est probablement le plus important parmi les nombres sacré. En effet il est le nombre d’or (1,618) plus son inverse (0,618) (1,618 + 0,618 = 2,236). Ce nombre a probablement pour symbolique la dualité fondamentale de l’univers : ying yang, jour nuit, masculin féminin, chaud froid, vie mort, terre lune, eau air, intérieur extérieur, haut bas, espace temps….

Je crois que c’est pour ça que ce nombre 2,236 est aussi souvent représenté dans la géométrie mégalithique et les monuments antique. Tiens je rappel au passage que la distance entre Stonehenge et la grande pyramide de Khéops est de 2236 miles un tel coup de chance est encore difficilement envisageable, à moins de souffrir d’un égo surdimensionné et d’une “septicémie chronique”.

D’autant plus que ce nombre, on le retrouve encore entre la cathédrale de Troyes et celle de Bourges, dont l’angle par rapport au nord est de 223,6 degrés. Mince, cette fois ci c’est en degrés sur la base de 360° que cela s’exprime ! Histoire de bien nous montrer que ces bâtisseurs d’avant divisaient aussi le cercle en 360°. Et comme ces derniers redoutaient le scepticisme chronique de nos esprits modernes, ils ont pris soin de positionner Bourges à la distance de 185,2 km de Troyes. C’est à dire 100 miles nautiques, ou 1000 stades Romain, comme par hasard. Le mile nautique découle directement des dimensions de la terre et donc de sa division en 360. (40 007,864 / 360° / 60′ = 1,8522 km). Un Mile Nautique c’est la soixantième partie d’un degrés de méridien. Bref, il faut là encore se rendre à l’évidence, nos ancêtres utilisaient les mêmes systèmes métrologiques et angulaires que nous, pauvre moderne dont l’arrogance ferait sourire nos ancêtres.2016-05-27 14:13:28

Allez pour le plaisir… je vous montre l’orientation de la cathédrale de Chartres, autre monument majeur de ce plan mégalithique invraisemblable. Cette cathédrale est orientée de 223,6 degrés par rapport au nord. Avant, ce trouvait un Dolmen à cet endroit là, probablement avec des menhirs qui permettaient d’indiquer et de conserver l’angle exacte de l’orientation sacrée de ce lieux. Car nous savons que les bâtisseurs de l’époque médiévale n’avaient pas la capacité de toute ces prouesses métrologiques et angulaires. Il leur fallait s’appuyer sur des éléments d’architecture déjà en place, et les mégalithes sont les candidats idéaux quant on connait la précision de leur disposition et orientation.

2016-05-27 14:18:58


Une erreur c’est peut être glissée ici :

En présentant hier soir mon Powerpoint, j’ai présenté un triangle isocèle entre Bourges, Gueugnon et Alésia. Ce triangle est une réalité, ces dimensions sont justes, elles sont de 137,5 km ± 0,001 % pour les deux cotés identiques et de 104,91 pour le coté base avec un angle de 45°. Attention, car nous parlons de mesures sphériques et réelles dont les angles et dimensions ne fonctionnent plus en géométrie plane, du moins en apparence. Car en réalité, les bâtisseurs étaient capable de tenir compte de la forme de la terre et d’en profiter pour nous donner ainsi plusieurs façon de comprendre leur travail.

Là ou j’ai fait une erreur, c’est je pense en vous donnant la hauteur de ce triangle qui est de 127,13 km. Cette valeur est juste, mais j’ai proposé que cela pourrait être la √16 180, soit la racine carré de 10 000 φ. La précision était comprise entre 0,05% et 0,11%. A mon sens, cette précision n’est pas suffisante pour exprimé le nombre d’or avec certitude. En effet, 127,13² = 16162, soit 0,11% d’erreur, ou alors en faisait √16 180 = 127,20, nous avons 0,05 % d’erreur. Non, cela ne doit pas être la bonne proposition car les bâtisseurs sont très précis, je ne pense pas que la marge d’erreur soit supérieure à 0,05 quand ils désirent évoquer une valeur aussi fondamentale que le nombre d’or en une seule opération.

Par contre, cette distance de 127,13 km, qui est la hauteur de mon triangle isocèle, elle est exactement la centième partie du diamètre polaire de la terre qui mesure 12 713 km. Le diamètre polaire qui est la hauteur de la terre. Cela me semble bien plus logique. D’autant plus que les distances et la géométrie du méridien d’Alésia ne cessent d’entrer en relation avec la taille de la terre.

Au passage, cette relation entre 127,13 et son carré 16 162 m’a donné un éclairage surprenant sur une autre mesure fondamentale concernant une distance qui à fait couler beaucoup d’encre. J’en ferais surement un article car je pense avoir trouvé une clef de compréhension très importante qui dépasse ce que je pouvais imaginer jusque là.

2016-05-27 23:15:45

Bourges Kergadiou : 299,793 minutes d’arc, hasard ou pas ?

En montrant la distance de 556,213 km entre le cœur de l’église de Bourges et le menhir de Kergadiou, vers lequel la cathédrale de Bourges est orientée, j’ai constaté que nous avions la 72ème partie de notre équateur terrestre, ou 300 milles nautiques. Mais en convertissant les 17987,58 secondes d’arc en minutes d’arc que me donnait Google Earth, j’obtenais la valeur de 299,793 minutes d’arc. Un nombre ressemblant de très près à la vitesse de la lumière exprimée en mètre par seconde. Cet exemple ne peut pas à lui seul constituer une preuve d’une connaissance de la vitesse de la lumière. Mais dans le cas ou ce genre de faits devaient se reproduire plusieurs fois sur des monuments mégalithiques majeurs, alors nous pourrions envisager très sérieusement cette hypothèse, car nous avons déjà une multitude de preuve que l’unité métrique et la division du cercle en 360° étaient des pratiques de nos ancêtres. Et de fait, rien ne s’oppose à ce qu’ils expriment la vitesse de la lumière dans les mêmes unités. Nous avons à l’heure actuelle quelques indices étonnant allant dans le sens d’une expression de la vitesse de la lumière. La latitude de la grande pyramide de Gizeh 29,972458° qui est très proche du centre d’un monuments multi millénaires. L’écart de longitudes entre Gizeh et Teotihuacán qui est de 129,9792458° entre deux sites de pyramides majeures de notre planète. Pour valider une hypothèse, il faut chercher d’autres indices de mêmes cohérences.

J’adopte donc un raisonnement scientifiques en n’omettant pas ces faits afin que nous les ayons juste en mémoire afin de faire le lien, si dans l’avenir nous étions amenés à trouver d’autres indices du même ordre. Un vrai chercheur n’écarte pas les faits bizarres qu’il observe, même s’il ne peut les expliquer, on ne peut omettre de les présenter.


Le parallèle d’Alésia, à quoi est il connecté ?

En partant de la Colline de Verre d’Alésia, si nous nous rendons plein Ouest pendant 523,6 km (1000 kilos coudées Égyptienne), nous interceptons alors à la même latitude un tumulus mégalithique qui est celui de Tumiac (aussi appelé la Butte de César). Là encore, cette distance ne peut en aucun cas être un hasard, car sur cette ligne se trouve le complexe du château de Chambord qui est symboliquement connecté aux principes mégalithiques, mais aussi les alignements du Piliers qui sont composés de 85 menhirs de quartz. (82 km avant le tumulus de Tumiac)

2016-05-27 18:06:06

Le tumulus de Tumiac se trouve presque sur une ligne d’or. Cette ligne d’or se trouve tout près en plein milieu du golf du Morbihan qui est le cœur du mégalithisme de Bretagne. L’écart infime est certainement volontaire, car les bâtisseurs ont probablement voulu placer ce tumulus à cette distance exacte de la colline de Verre. Les alignements du Piliers en revanche sont exactement sur une ligne d’or mégalithique, c’est à dire le 37ème méridien sur les 366 que compte la géométrie mégalithique.

Mais le plus incroyable, c’est que cette latitude à quelque chose de merveilleux, car à cette latitude là, et seulement à celle là, lors des solstices d’été et d’hiver, le soleil se lève et se couche en formant avec l’horizon un angle de 36,87° qui est l’angle d’un triangle 3 4 5. Le fameux triangle rectangle de Pythagore ! Oui, à cette latitude là, sur cette ligne là, 2 fois par ans le soleil nous dessine une ombre qui forme avec les axes cardinaux un triangle 3 4 5.

Pour être certain qu’on ne passe pas à coté, nos ancêtres ont même pris la peine de construire un rectangle de pierre sur ce principe à Crucuno dans le golf du Morbihan. Bref, là, si les meilleurs scientifiques de notre monde moderne ne parviennent pas à comprendre, nous sommes cuit ! Tout est là, il n’y a plus qu’a mesurer, c’est aussi simple que de planter des choux !

2016-05-27 18:22:38


Conclusion :

Bref, en m’appuyant sur les travaux de mes prédécesseurs dans ce domaine (Howard Crowhurst, Sylvain Tristan et Didier Coilhac) je constate qu’en des temps reculés des peuples utilisaient le mètre, le mile anglais, le mile nautique, la coudée, la division du cercle en 360°, la géolocalisation en degrés, minutes, secondes… alors qu’on nous explique que tout cela est arbitraire, et aurait été définit à la fin du 18ème siècle. La place au doute devient si étroite qu’elle risque de nous étouffer.

La question de savoir comment nos ancêtres ont fait tous cela n’a pas de réponse, mais pour avoir vérifié une partie des mesures des scientifiques Méchain et Delambre, je peux vous dire que les scientifiques de la fin du 18ème siècles n’étaient pas capable de cette précision avec leurs cercles répétiteurs de Borda, leurs barres de platines et leurs savants calculs. Je ne sais pas comment nos ancêtres faisaient pour être aussi précis, mais à défaut de savoir, nous pouvons tenter de comprendre pourquoi ils ont voulus être aussi précis.

Mon travail suggère aussi, que des connaissances importantes de ces lieux sacrés ont continué d’être enseignées de manière à ce que plus tard des bâtisseurs d’un autre temps continuent de construire à ces mêmes endroits, en respectant les orientations d’origine. Je sais, c’est dingue…. mais c’est comme ça. Tout ceci semble avoir construit dans l’espoir que nous ne perdions pas de vue des connaissances primordiales, ou alors pour que nous puissions les redécouvrir.

REVOIR LA WEB CONFERENCE CI DESSOUS :

Désolé si je suis passé un peu vite, mais il m’aurait fallu presque 3 heures pour bien développer tout cela…


ANNEXE :

  • Dans ce que je vais viens de vous montrer, la précision des distances et des angles est très précise. La marge d’erreur est comprise entre 0,05% et 0,001 %. Soit une marge d’erreur comprise entre 5 cm et 1 mm sur 100 mètres.
  • 0,2 %, est dans cette étude la marge d’erreur maximale que je considère comme étant acceptable pour que la probabilité de la mesure théorique soit significative. Dans certain cas, 0,2 % est trop imprécis pour être juste, surtout si nous pouvons définir très clairement les points de départ et d’arrivée d’une mesure. Mais pour des monuments importants de forme complexe, on peut admettre une marge d’erreur équivalente à 20 cm sur 100 mètres. La plupart des mesures sont précises à moins de 0,05 %, soit moins de 5 cm d’erreur sur 100 mètres.

Concernant le méridien d’Alésia :

Les écarts de position des monuments majeurs par rapport au méridien d’Alésia sont de ± 1,5 minutes d’arc. L’ensemble des sites sont compris dans une bande de 3’ minutes d’arc.

Au regard de la précision dont nous constatons que les bâtisseurs étaient capables, pourquoi ces derniers auraient fait une telle erreur ?

En réalité, ce n’est pas une erreur. Ce couloir de 3 minutes d’arc permet d’implanter correctement certaines cathédrales, châteaux et sites mégalithiques, en respectant des données angulaires et distances très importantes. Car les distances sont très importantes et très précises. Ce que nous pensons être une erreur permet par exemple d’avoir exactement l’angle d’un bi carré entre Chartres et Alésia, ou d’avoir exactement 185,2 km entre Bourges et Troyes….. etc….

Compte tenu du grand nombre d’éléments que les bâtisseurs ont voulus implanter en partant de ce méridien sacré, ils leur étaient nécessaire de créer un couloir leur permettant d’ajuster la position de certains monuments les uns par rapport aux autres.

Cette espace large qui constitue le méridien sacré d’Alésia permet d’enraciner tout autour de lui avec une très grande précision plusieurs autres sites sacrés, qui eux, sont implantés avec une très grande précision.

Ce principe que nous prenons pour une marge d’erreur est en réalité une marge de flottement qui permet d’augmenter les possibilités de communication géométriques et mathématiques. C’est une clef du langage des anciens que j’observe de plus en plus et que je commence à comprendre…. Ce que nous prenons pour des imprécisions à parfois une raison d’être qu’il nous faut comprendre.

La fausse Alésia : Alise St Reine :

2016-05-29 16:23:35C’est Napoléon III qui par décret déclara que le site d’Alise St Reine était le siège de la bataille d’Alésia. Mais de très nombreux auteurs, historiens et chercheurs dans différents domaines ne partagent pas du tout cette proposition. Un livre à été publié en 2014 : Alésia, la supercherie dévoilée, par Danielle Porte, historienne spécialisée de l’antiquité romaine. Ce livre montre les très nombreuses failles dans le raisonnement et les conclusion qui ont été faite des fouilles pour donner à Alise St Reine le titre de d’Alésia. A commencer par le nom, en effet, dans les écrit contemporains, de César entre autre, les auteurs écrivent “Alésia” et nom “Alisija”. En effet, sur le site d’Alise St Reine, a été retrouvé une plaque avec le nom d’Alisija, et non celui d’Alésia pourtant écrit par les auteurs contemporains des faits.

De nombreux auteurs voient Alésia dans le Jura, mais d’autres comme l’historien Bernard Fèvre et l’auteur Sylvain Tristan situe ce lieux sacrées près de Guillon. Ce dernier s’appuyant sur une science cartographique que nos ancêtres semblaient maitriser, montre que la Colline de Verre à coté de Guillon dans l’Yonne est un parfait candidat pour être l’Alésia sacrée des Celtes, puis des Gaulois. Cette colline et ses environs correspond très bien à la description de Jules Césars, et les fortifications que Vercingétorix aurait fait construire pour l’occasion sont encore visible (mur de 2 mètres de haut et de large). On retrouve aussi l’emplacement des 23 postes d’observation du siège de César. J’abonde vers cette hypothèse, car les faits cartographiques révèlent une science qui fait de cette colline le cœur d’un système mathématique et géométrique universel, conçue à une époque dont nous n’avons plus que la mesure pour tenter d’y voir claire. Cette colline est à minima un lieux sacré incontournable de l’époque Mégalithique, Celtique et Gauloise.

C’est depuis Napoléon III et au vu des résultats des fouilles de 1991 à 1997, dirigées par un dénommé Michel Reddé, que la localisation du siège est décrétée de façon ferme et définitive à Alise-Sainte-Reine sur le Mont Auxois en Côte d’Or, où depuis 140 ans,on recherche vainement les traces de la bataille de cavalerie qui l’a précédé, mais le plus amusant est à venir!

Michel Reddé fait la déclaration suivante le 11 mai 1996, aux journées archéologiques de Bourgogne Franche Comté, à la faculté des sciences de Dijon: ” La dernière campagne de fouilles actuellement en cours confirme la localisation de ce siège autour du Mont Auxois, bien que les structures découvertes ne correspondent pas aux descriptions de César, ce qui semblerait attester que César n’était pas très précis dans ses descriptions, raison pour laquelle, les archéologues disent que les fouilles archéologiques redressent les erreurs de descriptions de César.”

Et c’est de cette façon là que de “petits” archéologues réécrivent l’histoire en lui faisant dire ce qu’il ont envie qu’elle dise !

Source : sur http://www.gaulois-barnoud.com/pages/l-histoire/alesia-retrouve.html#xP6kXD1aAufxqbbz.99

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13 Commentaires

  1. bonjour,j habite tres pres d alesia qui est reelement alise sainte reine j ai lu vos etudes regarder si flavigny n est pas su la ligne et allez voir la crypte et l abbaye il y a certains symbole dans les caves qui date du moyen ages…..

    • Bonjour.
      Le site d’Alise St Reine est certainement une ville importante, elle est situé à 31 km sur la même latitude que la colline de Verre qui était plus probablement la colline sacrée pour les Celtes et des ancètres plus important. Les indices archéologiques sont très différents sur ces deux sites. L’un semble être une ville importante d’un style Romain. Alise St Reine à visiblement été une ville Gallo Romaine au vue de son architecture. Et l’autre semble être le théâtre de la fin de Vercingétorix, la colline sacrée de cette région.
      Flavigny, je ne connais pas… j’y ferais un saut si je passe dans le coin.

  2. bonjour.
    si on prolonge le meridien alesien on passe par lunel-viel dont le nom semble evocateur.on a trouvé un site paleolitique important a cette endroit.je pense egalement a l’intersection avec la voie heraclienne peut-etre.
    plus bas on arrive a l’etang de l’or,encore un nom evocateur puis au golfe du lion qui a la forme d’une lune tournée vers le bas comme le blason de lunel.
    on peu aussi penser aux grau du roi pour cette alignement mais de maniere beaucoup moins precise,qui relie la mer a aigues-morte.aigues-morte qui etait l’abbaye cistercienne de psalmodie avant de devenir le port des roi de france sur la mediterrannée.
    je ne sais pas si tout ca a un sens mais si ca vous parle peut-etre…

    je me permet d’attirer votre a attention sur les nombreux sites megalithiques a l’est d’ales comme les differents cromlechs autour de navacelle ou le site de l’abbaye de Grandmont a lodeve avec sont magnifique menhir et ces rochers taillers(a visiter).c’est tout les Causses qui semble etre une zone megalithique importante et tres peu connu.c’est tres exageré mais j’ai eu l’impression d’un nazca francais,des plateaux isolés mais avec de nombreuses traces tres anciennes.pour etre franc je serai ravi d’attirer votre curiositée sur cette region qu’on sent lié avec le canigou,le mont aiguoual et peut-etre le ventoux.

    merci pour votre travail absolument passionnant.

    • Bonjour. Je ne connais pas très bien la ville d’Alès, et ses environs, sauf les plateaux à l’ouest ou l’on trouve beaucoup de mégalithes sur les causses, vers Meyrueis, St Ennimie. Bon après, on trouve vraiment beaucoup de mégalithes dans cette région là de France. L’Aveyron, le Gard, et le sud de la Lozere. Ce qu’il faut tenter de repérer ce sont des sites majeurs qui se démarque par une très forte concentration et un très haut niveau d’organisation. Ils sont généralement les points de départ d’un système géométriques. J’irais explorer ce secteur l’année prochaine, pour voir ce qu’on peut y observer.

  3. bonjour
    1)pouvez-vous nous conseiller des livres autre que sylvain tristan,howard crowhurst,stephane cardinal ou graham hancock?
    2)connaissez-vous les livres
    ROSE Félicien – La rose de Nostre Dame
    ROSE Soulier Michel Christian – La divine Rose-Croix
    3)existe t’il un ouvrage didactique,tres scolaire sur la geometrie sacrée comme votre presentation des proprietées du double carré ou du rapport de surface entre le cercle et le carré

    merci pour votre volontée d’etre tres pedagogue et la qualitée de vos videos.c’est tres aprecié.bravo

    • Alors, il peu y avoir des livres ou documents issues des Compagnons qui propose des informations géométriques. Ces livres sont anciens et rares. Sinon, il y a des livres en Anglais, celui de Richard Cassaro, ou un récent qui s’appel Sacred Géométry of the Earth. Mais il n’y a pas de livre pédagogique sur la géométrie sacrée à ma connaissance. Il faut la retrouver. Il y a aussi des vidéo sur les batisseurs du moyen age, qui montre par exemple l’usage de la corde à 13 noeuds.

  4. interressant tout ca ,je suis d Ales ,faudra que je cherche et trouve ces cromlech pres de navacelle!
    merci pour toutes ces infos super dingues!!

  5. Bonjour M. Leplat,

    Votre travail, est remarquable ; il y a de telles évidences que c’est est surprenant.

    Merci et bonne continuation à vous; en attendant je vais commander un de vos livres(certainement celui sur les mégalithes du Sancy)
    bien à vous

  6. Bonjour Quentin,

    “Marge de flottement” OK aujourd’hui on parle, dans beaucoup de disciplines de “marge de tolérance” c’est parfaitement admis et accrédite les faits sans qu’ils soient pour autant remis en cause. Tout cela est parfaitement cohérent.

    “chaque génération se croit plus intelligente que la précédente et plus sage que la suivante”
    Je pense qu’il faut beaucoup d’humilité pour dépasser ce clivage et un très bel état d’esprit ce dont vous faites preuve dans l’ensemble de vos travaux, qui sont digne du plus grand intérêt.

    Bien amicalement

    Jean-Luc

  7. ARCHEOLOGIE MEGALITIQUE : Découverte des alignements dualisés GEO-TELLURIQUE Européens matérialisé par la science des anciens sur l’axe de poussé tectonique créant l’arc Alpin.
    Après avoir vu le film « La révélation des pyramides » il y a des années, j’ai eu connaissances de vos travaux sur les mégalithes et de leurs relations avec ceux de Grande Bretagne ainsi que la relation entre Avebury et le Montblanc. Ensuite après avoir vu vos vidéos pour utiliser Google earth et celle de Q.Leplat « Mégalithe du Sancy » cela m’a donné envie de l’appliquer à ma région le centre du Jura, là où l’arc Alpin fait un plis de 90 ° plein Est. Notamment autour de ma ville de naissance Champagnole qui connut jusqu’en 1960 une procession pour la fête paroissiale qui a lieu au moment du solstice d’été, (Polarité Yang) jusqu’au sommet du Mont Rivel qui domine à l’Est de la ville…
    Juillet 2017 fut ainsi le début d’une enquête stupéfiante, d’abord sur des découvertes localisées sur une montagne locales, le mont Rivel, qui semble être l’axe du pivot Ouest de cet Axe Alpin (voir carte des failles constitutives des vallées du 1er plateau Jurassien). Puis cantonaux, avec ses prolongements régionaux rayonnant en rosace qui se prolongent…
    Car suite à vos conférences j’ai eu ensuite l’idée de voir quel était l’alignement avec l’obélisque centrale d’Héliopolis, puis en le prolongent au Nord-Ouest jusqu’à Stonehenge puis avec son pôle Woodhenge…(polarité Yin) découvrant ainsi que cela ferait en fait 2 axes polarisés, car ce canton jurassien à un 2ème site juste à 10Kms au Sud avec 4 murs à appareil « cyclopéen »…
    Le site de la cuvette glacière de Champagnole est traversé par la rivière l’Ain ou se jette 2 de ses affluents et elle est dominée de 300 m par une curieuse montagne qui a un sommet constitué par un plateau triangulaire de 30 ha. Ses 3 côtés sont avec un profil de trapèze isocèle, ils sont aussi incurvés concaves et elle culmine à 810 M vers sa pointe Est. La pointe Sud est bien orienté plein SUD et elle est recouverte des ruines d’un château médiéval représenter sur le blason de la ville…Cette pointe Sud indique la direction du 2ème site prolonger par un autre alignement et elle est constituée de falaise comme la pointe Ouest et le côté Nord
    Ce plateau sommital a été fouillé par des archéologues pendant 13 ans et un livre a été publié en 1990 « MONT RIVEL » Ed Taillanderie. L’archéologue y détails ses découvertes localisées dans un curieux bourg de montagne abandonné au 4eme siècle après J.C. : Il écrit « Le Mont Rivel (latin Monsrivelus) est un site fondamental pour l’histoire du Jura …pour les personnes qui s’intéressent à l’histoire antiques… il est un important Pôle Religieux. »
    Il écrit qu’au centre de ce plateau triangulaire se trouvait de grosses pierres que l’on voyait encore sur les photos aériennes prise par les services I.G.N…
    Que le plus ancien des 2 temples dégagés est curieusement OCTOGONAL, il précise même, « 1 des 4 connus en Gaule et sa surface fait 500 m2 ce qui le met au 3èmerang. Le 4ème est celui de Nîmes 410 m2 qui est dans le monde Gallo-Romain une cité d’une toute autre importance… »
    Il note l’anomalie de trouver un temple de cette dimension dans une petite agglomération montagnarde, dont le plan d’urbanisme des rues montre qu’elle était agencée pour que les visiteurs et les pèlerins aillent vers lui.
    D’autre part ce temple octogonal est situé curieusement environ au milieu du rebord du côté SUD-EST qui mesure 1670 Mètres sur la carte, mais cette pointe Est n’est pas une falaise comme les 2 autres, elle est actuellement constituée de ruines qualifiées de médiévales disposées en terrasses. Car c’est un emplacement stratégique pour surveiller la route qui descend de la montagne située juste en face plein Est qui vient depuis la Suisse et la Germanie… Cet emplacement surveille aussi la bifurcation entre cette route et les chemins d’accès Nord et celui du Sud du mont Rivel qui monte juste en dessous.
    Le chemin historique le plus facile d’accès et celui du Sud attesté à l’époque médiévale et il arrive non loin de ce temple (là où il y a une petite source), car c’est le côté le moins haut de la montagne et aussi ensoleillé, ce qui est très pratique surtout en hivers, c’est même primordial en montagne…
    Mais très curieusement l’archéologue à constater qu’à l’époque antique le chemin d’accès se faisait par le côté NORD car l’urbanisation du bourg est disposée ainsi, ce qui est en opposition avec la logique pratique, car en montagne et avec l’enneigement en hivers, c’est d’un usage souvent très problématique. Cela semble aussi être symbolique, les pèlerins se dirigeaient vers le temple « stars » (en fait le dieu Mercure-Hermès-Thoth…le messager des dieux avec le symbole 8 est la lettre H) …
    Autre constat curieux vérifié sur les plans de ce livre, les côtés de ce temple et donc son axe sont construit avec un angle d’environ 16 degrés (1.618 ?) par rapport au Nord géographique. Cela mériterait une étude, comparer avec celle des angles de direction des 2 voies sacrées comme l’appelle l’archéologue. Car elle arrivent à son emplacement dans le sens inverse (Nord-Est) (qui semble donc être l’aller et retour des pèlerins ). Tout cela nécessiterait des mesures et des analyses très précises avec l’axe double qui vient d’Héliopolis-Gizeh et ceux des autres bâtiments Antiques de la région compléter avec les angles triangulaires de la montagne…
    La pointe triangulaire de l’angle OUEST du plateau triangulaire, est très enclavé actuellement entre sa falaise naturelle du côté Nord qui a cet endroit s’oriente rapidement au Sud, car elle est délimitée par les falaises de la carrière de l’ancienne cimenterie. C’est ce qui avait provoqué les fouilles archéologiques dites conservatoires. A cet endroit se trouve ce que l’archéologue appelle « un éperon barré ». Au Sud de cette barre il y a une curieuse excavation circulaire de plusieurs mètres creusé dans la roche d’environ 16 mètres de diamètre, très embroussailler…Il précise que c’est le lieu le plus ancien et qu’il n’a pas été fouiller…
    Actuellement la plus grande partie du plateau sommital est devenus une friche avec des taillis épais qui ne permettent pas avec Google Earth de prendre des mesures très précise, car avec ce site je n’ai pas pu remonter après 2006. Or il était dégagé avant 1990….
    1/ L’alignement double avec l’obélisque d’Héliopolis et Gizeh qui indique l’axe de poussé du magma tellurique qui pousse la plaque continentale Italo-Africaine qui génère géologiquement l’arc Alpin, cette chaîne montagneuse qui forme l’épine dorsale au milieu de l’Europe géographique depuis le sud de la vallée du Rhône, monte plein Nord jusqu’à notre latitude ou elle bifurque à 90° plein EST jusqu’en Roumanie :
    Suivant vos indications, entre l’obélisque d’Héliopolis et le temple octogonal, j’ai trouvé 2861.140 Kms/ 317°40 N/25°70(=14) soit 1/14 du périmètre équatorial officiel de U.A.I. de 1964 soit 40075.186Kms soit 2862.513Kms. Du site « de l’éperon barré », situé à la pointe Ouest qui est le plus ancien d’après l’archéologue avec son l’excavation circulaire, il y a 2861.940Kms, au bout de cette Barre en suivant comme un fossé, il y a 2862Kms.
    Une étude comparative entre cet axe et celui parallèle qui démarrerait de la grande pyramide avec cette excavation Ouest serait surement pertinente ainsi qu’avec le site « Yin » de Chaux des Crotenay… (qui semble passé sur le château « Castel des Monte » construit en 1240 par l’empereur Frédérique II, mais qui n’a aucun intérêt stratégique avec ses 8 côtés curieusement…au sud de l’Italie…)

    Ensuite sur notre méridien local qui mesure environ 40007.863 Kms / 14 +2857.704 Kms = site d’un menhir local et de tumulus…
    …14 est le chiffre de la carte « Tempérance »et symbole du Verseau…
    2/Ensuite avec aussi un double alignement en relation avec des alignements de monument exactement sur notre latitude EST-OUEST que j’ai suivi jusqu’au site mégalithique de l’île d’Yeu… L’archéologue à trouver des coquillages marins dans les fondations et dans les ruines fouillées des bâtiments du site du mont Rivel, qui montre que des échanges très ancien existait avec cette zone marine qui est situé plein Ouest de l’autre côté de la France. Ce double alignement est situé au centre géographique de celle-ci… On sait aussi que dans son récit »la guerre des Gaules » de Jules César, la guerre fut déclenchée parce que les Helvètes voulaient aller s’installer en Saintonge en Vendée, donc eux aussi, ils connaissaient les lieux…Comme les druides qui allaient dans une forêt de la région de Chartre pour se réunir annuellement…
    Dans l’autre sens, comme par un retour de la polarité historique, au 6eme siècle, l’histoire du Christianisme nous dit que Saint Colomban et un autre moine « Irlandais », un insulaire donc non romanisé, sont venus réévangélisé la région, qui à cette l’époque, après les invasions barbares, et décrite comme un « désert vert ». Comment connaissait-il cette région aux antipodes géographique de la leur à cette époque ? Pourquoi choisir de s’installer dans cette région alors que l’histoire nous dit qu’ils avaient débarqué en Vendée, juste en face de l’île d’Yeu ? Une tradition celtique druidique…à revisité… ? Les très nombreux sites remarquables sur ce tracé double méritent aussi un travail important…

    3/ Dans la direction plein sud de la ville de Champagnole, j’ai vu sur des photos I.G.N prise lors de la sécheresse de 1949, les fondations rectangulaires encadrées avec 2 alignements de colonnes d’un temple antique situé dans le quartier appelé « Champs sarrasin ». Il est cadastré « champ des bancs » et le dictionnaire des communes du Jura publié en 1855 de Mr Rousset décrit « un alignement de grosses pierre » qui devaient donc être situé à l’Est de ses fondations. Il précise qu’elles permettaient aux promeneurs de s’y assoir. Il détaille que l’on voit une « faille dans le roc » …
    En continuant plein Sud 10 kms plus loin il y a un site aussi de surface triangulaire, avec un village Chaux des Crotenay, délimité par 2 torrents la Saine et la Lemme et par une barre rocheuse plus au Sud, donc orienté Est-Ouest. Au pied de cette barre rocheuse et au centre, il y a une source à côté de l’église paroissiale (curieusement bien en contre bas du village) qui est surmontée par une colline ou il y avait un château médiéval. Ce site est entouré et délimité par l’élément eau, cela indique un site de polarité Yin…
    Or cette colline est à 2852,940 Kms d’Héliopolis soit exactement 1/14éme du périmètre Polaire moyen terrestre (autre élément Yin) et elle a aussi un alignement plein Ouest intéressant…
    Le chiffre 14 est la Tempérance du jeu de Tarot qui symbolise aussi le verseau…
    J’ai aussi continué l’alignement toujours plus au SUD, qui est géographiquement exactement NORD-SUD, positionné sur l’axe longitudinal des Préalpes Ouest, avec certain des plus ancien des sites religieux antiques des Gaules et christianisés, jusqu’à la montagne de la Sainte Baume. Ce site chrétien provençale avec sa célèbre grotte-prieuré à flanc de montagne ou Marie-Madeleine est sensé avoir fini sa vie et qui est couronnée par son sommet le Pic de Bertagne :
    C’est aussi toute une recherche également a prolongé localement…
    4/ Il y a un alignement Nord qui part du Mt Rivel que j’ai suivi localement jusque vers Besançon qui semblerait être la capitale des Séquanes, la tribu gauloise régionale. Au bord de la rivière La Loue il y aussi un site double polarisé constitué par l’emplacement d’un monastère et un site Yang constitué par une colline comme un éperon rocheux orienté Nord-Sud où se trouve l’église et le curieux cimetière du village Courcelles les Quingey. Ce village à aussi un alignement géographique à l’Est intéressant avec plusieurs points stratégiques sur la vallée touristique d’Ornans…
    Également à étudié sérieusement et à prolonger toujours plus au Nord, car il y a situé à l’Ouest de Vesoul les Dolmens de Bucey-les Traves, Ormoy et la tour de Richecourt, la colline de Sion situé au Nord de Saxon Sion, jusqu’au centre de la ville Luxembourg…

    5/ Il me semble y avoir aussi un axe Nord-Ouest (opposé à l’axe de Stonehenge-région Parisienne) notamment Luxeuil, mais aussi le Mont St Odile avec ses 3 monts alignés également Nord-Sud et couronnés chacun par 3 enceintes Mégalithiques qui ensembles font 11Kms de longs… (11 ? qui semble être constitué de 300.000 blocs). Région ou il y a plusieurs « mur des païens » mégalithiques dont celui de Taennchel (entre Ribeauvillé et Thannenkirch) …
    Ces résultats étonnants ouvrent des portes à d’autres recherches locales, régionales comme si c’était une grande trame Européenne, constitué sur tous les plans, géographiques, avec ses azimuts culturels historiques, sites de Templiers et/ou religieux, en relation avec la sagesse des anciens exprimée sur notre continent Européen. Cela nécessite l’utilisation de moyens, de relaies et de relations dans nos régions qui, avec les disciplines techniques moderne, qui sont à notre portée actuellement, si de nombreux chercheurs de vérités historiques s’en empare. Elles nécessitent un savoir local et une conjugaison de moyens culturels appliqué, prolonger géographiquement à toute la Gaule historique mégalithique avec peut-être des prolongements beaucoup plus loin…
    Cela demandera un travail de grande ampleur qui dépasse très largement mes compétences mathématiques, symboliques et culturelles.
    C’est pourquoi après ces 18 mois de cogitations fructueuses, j’ai eu l’idées d’écrire cette lettre ouverte d’abord aux 3 chercheurs dont les travaux sont à l’origine de ma quête, puis de la mettre à dispositions de tous ceux qui voudront l’appliqués régionalement et/ou planétairement…

  8. Bonjour,
    Votre développement est très intéressant et captivant.
    Il semble évident qu’il a existé dans le passé, une science grandiose, mais qui a été perdue et que nos savants modernes ont beaucoup de mal retrouver.
    Connaissez-vous le livre de M. Xavier Guichard, datant de 1936, intitulé “Alésia Eleusis” ?
    Je me permets de vous transmettre, ci-après, le lien qui conduit à la lecture de ses différents chapitres. C’est un travail qui est à rapprocher du votre et de celui d’Howard Crowhurst.
    ( http://www.ancient-wisdom.com/eleuse%20alaise%20chapter1.htm )
    Je me permets également de vous joindre l’adresse de l’article de mon blog consacré à la Cosmogonie.
    Peut-être trouverez-vous quelques secondes de votre temps précieux à lui accorder ?
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/la-force.html
    Cordialement.

  9. Bonjour.
    Le site d’Alise St Reine est certainement une ville importante, elle est situé à 31 km sur la même latitude que la colline de Verre qui était plus probablement la colline sacrée pour les Celtes et des ancètres plus important. Les indices archéologiques sont très différents sur ces deux sites. L’un semble être une ville importante d’un style Romain. Alise St Reine à visiblement été une ville Gallo Romaine au vue de son architecture. Et l’autre semble être le théâtre de la fin de Vercingétorix, la colline sacrée de cette région.
    Flavigny, je ne connais pas… j’y ferais un saut si je passe dans le coin.

  10. ARCHEOLOGIE MEGALITIQUE : Découverte des alignements dualisés GEO-TELLURIQUE Européens matérialisé par la science des anciens sur l’axe de poussé tectonique créant l’arc Alpin.
    Après avoir vu le film « La révélation des pyramides » il y a des années, j’ai eu connaissances de vos travaux sur les mégalithes et de leurs relations avec ceux de Grande Bretagne ainsi que la relation entre Avebury et le Montblanc. Ensuite après avoir vu vos vidéos pour utiliser Google earth et celle de Q.Leplat « Mégalithe du Sancy » cela m’a donné envie de l’appliquer à ma région le centre du Jura, là où l’arc Alpin fait un plis de 90 ° plein Est. Notamment autour de ma ville de naissance Champagnole qui connut jusqu’en 1960 une procession pour la fête paroissiale qui a lieu au moment du solstice d’été, (Polarité Yang) jusqu’au sommet du Mont Rivel qui domine à l’Est de la ville…
    Juillet 2017 fut ainsi le début d’une enquête stupéfiante, d’abord sur des découvertes localisées sur une montagne locales, le mont Rivel, qui semble être l’axe du pivot Ouest de cet Axe Alpin (voir carte des failles constitutives des vallées du 1er plateau Jurassien). Puis cantonaux, avec ses prolongements régionaux rayonnant en rosace qui se prolongent…
    Car suite à vos conférences j’ai eu ensuite l’idée de voir quel était l’alignement avec l’obélisque centrale d’Héliopolis, puis en le prolongent au Nord-Ouest jusqu’à Stonehenge puis avec son pôle Woodhenge…(polarité Yin) découvrant ainsi que cela ferait en fait 2 axes polarisés, car ce canton jurassien à un 2ème site juste à 10Kms au Sud avec 4 murs à appareil « cyclopéen »…
    Le site de la cuvette glacière de Champagnole est traversé par la rivière l’Ain ou se jette 2 de ses affluents et elle est dominée de 300 m par une curieuse montagne qui a un sommet constitué par un plateau triangulaire de 30 ha. Ses 3 côtés sont avec un profil de trapèze isocèle, ils sont aussi incurvés concaves et elle culmine à 810 M vers sa pointe Est. La pointe Sud est bien orienté plein SUD et elle est recouverte des ruines d’un château médiéval représenter sur le blason de la ville…Cette pointe Sud indique la direction du 2ème site prolonger par un autre alignement et elle est constituée de falaise comme la pointe Ouest et le côté Nord
    Ce plateau sommital a été fouillé par des archéologues pendant 13 ans et un livre a été publié en 1990 « MONT RIVEL » Ed Taillanderie. L’archéologue y détails ses découvertes localisées dans un curieux bourg de montagne abandonné au 4eme siècle après J.C. : Il écrit « Le Mont Rivel (latin Monsrivelus) est un site fondamental pour l’histoire du Jura …pour les personnes qui s’intéressent à l’histoire antiques… il est un important Pôle Religieux. »
    Il écrit qu’au centre de ce plateau triangulaire se trouvait de grosses pierres que l’on voyait encore sur les photos aériennes prise par les services I.G.N…
    Que le plus ancien des 2 temples dégagés est curieusement OCTOGONAL, il précise même, « 1 des 4 connus en Gaule et sa surface fait 500 m2 ce qui le met au 3èmerang. Le 4ème est celui de Nîmes 410 m2 qui est dans le monde Gallo-Romain une cité d’une toute autre importance… »
    Il note l’anomalie de trouver un temple de cette dimension dans une petite agglomération montagnarde, dont le plan d’urbanisme des rues montre qu’elle était agencée pour que les visiteurs et les pèlerins aillent vers lui.
    D’autre part ce temple octogonal est situé curieusement environ au milieu du rebord du côté SUD-EST qui mesure 1670 Mètres sur la carte, mais cette pointe Est n’est pas une falaise comme les 2 autres, elle est actuellement constituée de ruines qualifiées de médiévales disposées en terrasses. Car c’est un emplacement stratégique pour surveiller la route qui descend de la montagne située juste en face plein Est qui vient depuis la Suisse et la Germanie… Cet emplacement surveille aussi la bifurcation entre cette route et les chemins d’accès Nord et celui du Sud du mont Rivel qui monte juste en dessous.
    Le chemin historique le plus facile d’accès et celui du Sud attesté à l’époque médiévale et il arrive non loin de ce temple (là où il y a une petite source), car c’est le côté le moins haut de la montagne et aussi ensoleillé, ce qui est très pratique surtout en hivers, c’est même primordial en montagne…
    Mais très curieusement l’archéologue à constater qu’à l’époque antique le chemin d’accès se faisait par le côté NORD car l’urbanisation du bourg est disposée ainsi, ce qui est en opposition avec la logique pratique, car en montagne et avec l’enneigement en hivers, c’est d’un usage souvent très problématique. Cela semble aussi être symbolique, les pèlerins se dirigeaient vers le temple « stars » (en fait le dieu Mercure-Hermès-Thoth…le messager des dieux avec le symbole 8 est la lettre H) …
    Autre constat curieux vérifié sur les plans de ce livre, les côtés de ce temple et donc son axe sont construit avec un angle d’environ 16 degrés (1.618 ?) par rapport au Nord géographique. Cela mériterait une étude, comparer avec celle des angles de direction des 2 voies sacrées comme l’appelle l’archéologue. Car elle arrivent à son emplacement dans le sens inverse (Nord-Est) (qui semble donc être l’aller et retour des pèlerins ). Tout cela nécessiterait des mesures et des analyses très précises avec l’axe double qui vient d’Héliopolis-Gizeh et ceux des autres bâtiments Antiques de la région compléter avec les angles triangulaires de la montagne…
    La pointe triangulaire de l’angle OUEST du plateau triangulaire, est très enclavé actuellement entre sa falaise naturelle du côté Nord qui a cet endroit s’oriente rapidement au Sud, car elle est délimitée par les falaises de la carrière de l’ancienne cimenterie. C’est ce qui avait provoqué les fouilles archéologiques dites conservatoires. A cet endroit se trouve ce que l’archéologue appelle « un éperon barré ». Au Sud de cette barre il y a une curieuse excavation circulaire de plusieurs mètres creusé dans la roche d’environ 16 mètres de diamètre, très embroussailler…Il précise que c’est le lieu le plus ancien et qu’il n’a pas été fouiller…
    Actuellement la plus grande partie du plateau sommital est devenus une friche avec des taillis épais qui ne permettent pas avec Google Earth de prendre des mesures très précise, car avec ce site je n’ai pas pu remonter après 2006. Or il était dégagé avant 1990….
    1/ L’alignement double avec l’obélisque d’Héliopolis et Gizeh qui indique l’axe de poussé du magma tellurique qui pousse la plaque continentale Italo-Africaine qui génère géologiquement l’arc Alpin, cette chaîne montagneuse qui forme l’épine dorsale au milieu de l’Europe géographique depuis le sud de la vallée du Rhône, monte plein Nord jusqu’à notre latitude ou elle bifurque à 90° plein EST jusqu’en Roumanie :
    Suivant vos indications, entre l’obélisque d’Héliopolis et le temple octogonal, j’ai trouvé 2861.140 Kms/ 317°40 N/25°70(=14) soit 1/14 du périmètre équatorial officiel de U.A.I. de 1964 soit 40075.186Kms soit 2862.513Kms. Du site « de l’éperon barré », situé à la pointe Ouest qui est le plus ancien d’après l’archéologue avec son l’excavation circulaire, il y a 2861.940Kms, au bout de cette Barre en suivant comme un fossé, il y a 2862Kms.
    Une étude comparative entre cet axe et celui parallèle qui démarrerait de la grande pyramide avec cette excavation Ouest serait surement pertinente ainsi qu’avec le site « Yin » de Chaux des Crotenay… (qui semble passé sur le château « Castel des Monte » construit en 1240 par l’empereur Frédérique II, mais qui n’a aucun intérêt stratégique avec ses 8 côtés curieusement…au sud de l’Italie…)

    Ensuite sur notre méridien local qui mesure environ 40007.863 Kms / 14 +2857.704 Kms = site d’un menhir local et de tumulus…
    …14 est le chiffre de la carte « Tempérance »et symbole du Verseau…
    2/Ensuite avec aussi un double alignement en relation avec des alignements de monument exactement sur notre latitude EST-OUEST que j’ai suivi jusqu’au site mégalithique de l’île d’Yeu… L’archéologue à trouver des coquillages marins dans les fondations et dans les ruines fouillées des bâtiments du site du mont Rivel, qui montre que des échanges très ancien existait avec cette zone marine qui est situé plein Ouest de l’autre côté de la France. Ce double alignement est situé au centre géographique de celle-ci… On sait aussi que dans son récit »la guerre des Gaules » de Jules César, la guerre fut déclenchée parce que les Helvètes voulaient aller s’installer en Saintonge en Vendée, donc eux aussi, ils connaissaient les lieux…Comme les druides qui allaient dans une forêt de la région de Chartre pour se réunir annuellement…
    Dans l’autre sens, comme par un retour de la polarité historique, au 6eme siècle, l’histoire du Christianisme nous dit que Saint Colomban et un autre moine « Irlandais », un insulaire donc non romanisé, sont venus réévangélisé la région, qui à cette l’époque, après les invasions barbares, et décrite comme un « désert vert ». Comment connaissait-il cette région aux antipodes géographique de la leur à cette époque ? Pourquoi choisir de s’installer dans cette région alors que l’histoire nous dit qu’ils avaient débarqué en Vendée, juste en face de l’île d’Yeu ? Une tradition celtique druidique…à revisité… ? Les très nombreux sites remarquables sur ce tracé double méritent aussi un travail important…

    3/ Dans la direction plein sud de la ville de Champagnole, j’ai vu sur des photos I.G.N prise lors de la sécheresse de 1949, les fondations rectangulaires encadrées avec 2 alignements de colonnes d’un temple antique situé dans le quartier appelé « Champs sarrasin ». Il est cadastré « champ des bancs » et le dictionnaire des communes du Jura publié en 1855 de Mr Rousset décrit « un alignement de grosses pierre » qui devaient donc être situé à l’Est de ses fondations. Il précise qu’elles permettaient aux promeneurs de s’y assoir. Il détaille que l’on voit une « faille dans le roc » …
    En continuant plein Sud 10 kms plus loin il y a un site aussi de surface triangulaire, avec un village Chaux des Crotenay, délimité par 2 torrents la Saine et la Lemme et par une barre rocheuse plus au Sud, donc orienté Est-Ouest. Au pied de cette barre rocheuse et au centre, il y a une source à côté de l’église paroissiale (curieusement bien en contre bas du village) qui est surmontée par une colline ou il y avait un château médiéval. Ce site est entouré et délimité par l’élément eau, cela indique un site de polarité Yin…
    Or cette colline est à 2852,940 Kms d’Héliopolis soit exactement 1/14éme du périmètre Polaire moyen terrestre (autre élément Yin) et elle a aussi un alignement plein Ouest intéressant…
    Le chiffre 14 est la Tempérance du jeu de Tarot qui symbolise aussi le verseau…
    J’ai aussi continué l’alignement toujours plus au SUD, qui est géographiquement exactement NORD-SUD, positionné sur l’axe longitudinal des Préalpes Ouest, avec certain des plus ancien des sites religieux antiques des Gaules et christianisés, jusqu’à la montagne de la Sainte Baume. Ce site chrétien provençale avec sa célèbre grotte-prieuré à flanc de montagne ou Marie-Madeleine est sensé avoir fini sa vie et qui est couronnée par son sommet le Pic de Bertagne :
    C’est aussi toute une recherche également a prolongé localement…
    4/ Il y a un alignement Nord qui part du Mt Rivel que j’ai suivi localement jusque vers Besançon qui semblerait être la capitale des Séquanes, la tribu gauloise régionale. Au bord de la rivière La Loue il y aussi un site double polarisé constitué par l’emplacement d’un monastère et un site Yang constitué par une colline comme un éperon rocheux orienté Nord-Sud où se trouve l’église et le curieux cimetière du village Courcelles les Quingey. Ce village à aussi un alignement géographique à l’Est intéressant avec plusieurs points stratégiques sur la vallée touristique d’Ornans…
    Également à étudié sérieusement et à prolonger toujours plus au Nord, car il y a situé à l’Ouest de Vesoul les Dolmens de Bucey-les Traves, Ormoy et la tour de Richecourt, la colline de Sion situé au Nord de Saxon Sion, jusqu’au centre de la ville Luxembourg…

    5/ Il me semble y avoir aussi un axe Nord-Ouest (opposé à l’axe de Stonehenge-région Parisienne) notamment Luxeuil, mais aussi le Mont St Odile avec ses 3 monts alignés également Nord-Sud et couronnés chacun par 3 enceintes Mégalithiques qui ensembles font 11Kms de longs… (11 ? qui semble être constitué de 300.000 blocs). Région ou il y a plusieurs « mur des païens » mégalithiques dont celui de Taennchel (entre Ribeauvillé et Thannenkirch) …
    Ces résultats étonnants ouvrent des portes à d’autres recherches locales, régionales comme si c’était une grande trame Européenne, constitué sur tous les plans, géographiques, avec ses azimuts culturels historiques, sites de Templiers et/ou religieux, en relation avec la sagesse des anciens exprimée sur notre continent Européen. Cela nécessite l’utilisation de moyens, de relaies et de relations dans nos régions qui, avec les disciplines techniques moderne, qui sont à notre portée actuellement, si de nombreux chercheurs de vérités historiques s’en empare. Elles nécessitent un savoir local et une conjugaison de moyens culturels appliqué, prolonger géographiquement à toute la Gaule historique mégalithique avec peut-être des prolongements beaucoup plus loin…
    Cela demandera un travail de grande ampleur qui dépasse très largement mes compétences mathématiques, symboliques et culturelles.
    C’est pourquoi après ces 18 mois de cogitations fructueuses, j’ai eu l’idées d’écrire cette lettre ouverte d’abord aux 3 chercheurs dont les travaux sont à l’origine de ma quête, puis de la mettre à dispositions de tous ceux qui voudront l’appliqués régionalement et/ou planétairement…

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