LANCEMENT DU PROJET ARTEFACT

OUVERTURE EN JANVIER 2022 DU CENTRE DE FORMATION ET DE TRANSMISSION ARTEFACT. POUR NE PAS RATER LES ÉVÉNEMENTS, INSCRIVEZ VOUS À LA NEWS LETTERS ICI.

Qu’est ce que le projet ARTEFACT ?

C’est assez simple, je vous propose d’entrer dans le monde des anciens en ouvrant un centre de formation et de transmission des connaissances des anciennes civilisations. Nous avons donc ouvert une salle spécialement dédiée à la projection de films, l’organisation de conférences et de formations. La salle aura une capacité de 48 personnes.

Pour cela, nous avons crée avec mon épouse l’association de fait, ARTEFACT.

ARTEFACT veut dire, Association de Recherche, de Transmission et d’Étude Factuelle des Anciennes Civilisations Terrestres.

C’est mon ami Pierre Coussy qui a trouvé le nom. Il participera à ce projet, car ses compétences en science, en mathématique et sa pédagogie sont essentielles. Sans son aide, il y a beaucoup de choses que je n’aurais pas pu découvrir. J’aurais commis un certain nombre d’erreur d’interprétation. Je lui ai commandé des outils statistiques et de probabilité pour évaluer la pertinence de certaines observations.

Le but de de l’association, ne sera pas mercantile. Certains événements seront payant, mais uniquement dans le but de financer la venue (transport, hébergement) des conférenciers et de payer toutes les charges inhérentes à une telle organisation. De nombreuses conférences seront à entrée libre, et chacun dépose, s’il le souhaite ce qu’il veut dans une boite pour contribuer à cette activité.

Quelle sont les charges et recettes de l’association ?

Les frais annuel de chauffage, électricité, eau, taxe foncière, abonnement internet s’élèvent à 3500 € par an. Le matériel investi pour équiper la salle et disposer d’une régie d’enregistrement audio-vidéo est de l’ordre de 10 000 €. Les recettes seront les inscriptions sur les événements et les abonnement à l’espace PREMIUM que nous avons ouvert pour y publier toutes les conférences que nous filmerons. Les livres que nous vendons ne rapporte rien, car les marges sont infimes, voir nul, et nous avons des frais de relecture pour les livres que nous éditons. L’objectif ne sera pas de faire du bénéfice avec notre librairie, mais de diffuser de la connaissance.

A quoi seront attribué les bénéfices s’il y en a ?

Les bénéfices, s’il y en a, serviront par exemple à financer l’édition de livres et de documentaires. J’ai déjà écris deux petits livres. La mise en page, les corrections et l’édition prennent un temps que je n’ai pas toujours, et nous pourrions solliciter des professionnels pour ces tâches finales.

Vous avez des livres en cours d’écriture ?

Tout à fait, je viens de terminer un conte initiatique, “Le réveil des dragons“. Il s’agit d’une hypothèse sur ce que sont vraiment les dragons que l’on retrouve dans la mythologie à travers le monde depuis la nuit des temps. Nous en sommes à la mise en page. Simon Ferandou a effectué la relecture et la préface de ce livre. Mon fils a dessiné les illustrations. Ensuite, j’ai au moins 3 ou 4 livres en tête. Donc clairement l’objectif est de produire des livres, que nous vendrons le moins cher possible (10 € environ). D’ailleurs nous avons aussi achetés des livres qui traitent du sujet des anciennes connaissances afin que le public puisse aussi les découvrir et les acquérir lorsqu’ils viennent ici. Pour les autres livres, c’est une surprise. Quant au prochain documentaire sur la connexion ente l’Égypte et les peuples Mégalithiques des Orcades, il est déjà bien avancé, mais je n’ai pas eut le temps d’y toucher depuis 3 mois. J’espère le terminer au printemps.

L’ouverture est prévu pour quelle dates ?

Le premier événement s’est tenu du 21 au 23 janvier avec 35 personnes qui ont traversé la France pour ce premier RDV. Nous avons pu faire venir Nicolas, en tant que représentant de l’ACEM (Association pour l’Étude et la Connaissance des Mégalithes) dont Howard Crowhurst est le fondateur. Mais aussi Pierre Coussy (conférencier) et Marc Bielli (réalisateur).

Tous les mois, il y aura des conférences, et deux fois par an nous organiserons un événement sur plusieurs jours. Et bien sur, nous aimerions aussi proposer une formation en petit groupe pour des passionnés et des chercheurs de tout horizons afin transmettre un maximum de choses.

A propos de l’ACEM, nous allons faire en sorte de ne pas organiser d’événement en même temps qu’eux, et si nous y parvenons, ce serait chouette de pouvoir aider cette association à pérenniser l’emploi de Nicolas qui tient la boutique du Pôle Menhirs à Plouharnel et à Kercado pendant l’été. L’ACEM se trouvant directement sur les sites mégalithique du Morbihan, je pense qu’il faut soutenir ce regard alternatif qui tranche avec la vision archaïque que nous avons de ces monuments.

J’en profite pour faire la promotion de la société de production EPISTEMEA de Howard Crowhurst, car celle ci produit des livres, des conférences filmées et des films qui apportent un nouveau regard sur les anciennes civilisations, tout en étant très pédagogique. Cette société, tourne au ralentie, et vient de lancer le projet de créer la chaine EPISTEMEA.TV afin de diffuser plus facilement son contenu. Pour cela il lui faut 200 membres fondateurs qui s’abonne pour 10 € par mois. Vous pouvez les rejoindre ici : https://www.epistemea.fr/

Allez vous donnez aussi des conférences ?

Oui bien sur, j’ai au moins 15 conférences en réserves, toutes aussi passionnante les unes que les autres… Cela va me prendre des années, mais la quantité d’informations que j’ai compris et découvert depuis mon apparition sur la scène des chercheurs indépendants, est très vaste. Pour vous donner quelques indices, je pense pouvoir démontrer que les anciens connaissaient des propriétés de notre système solaires encore jamais envisagées. Les connaissances en science physique des anciens étaient d’un niveau incroyable. Outre le nombre PI, le nombre d’or, c’est aussi la constante gravitationnelle et la constante de Planck que les anciens avaient été capable de comprendre. Leur science était complète, simple, harmonieuse et en appuie sur la nature même du vivant et de l’univers. Quand j’ai compris ce que l’on peut faire avec la coudée royale, j’ai compris que les anciens avaient percés des mystères que l’on pourrait comparer à la “théorie du tout” et qu’aucun physicien moderne n’a pu établir à ce jour. C’est juste pour vous mettre l’eau à la bouche !

Allez je suis sympa, je vous laisse un indice. Certains biologistes s’accordent pour admettre que la proportion dorée est présente dans la structure de l’ADN. La longueur d’une spirale d’ADN divisée par sa largeur donnerait un ratio qui tend vers le nombre d’or. Jusque là, cela est presque banal pour la plupart des lecteurs de ce blog, mais ce qui est passé inaperçu, c’est que la longueur de la spirale d’ADN est de 34 angströms (1 angströms = 0,000 000 000 1 mètre). Donc, en toute logique, si le rapport longueur / largeur vaut le nombre d’or, alors la largeur vaut 21 angströms. Or, vous avez peut être reconnue que 34 et 21 sont deux nombres de la suite de Fibonacci. Ce qui est extraordinairement curieux, c’est que ces nombres 34 et 21 apparaissent parce que nous mesurons en “mètre”, oui en mètre…. Comprenez vous ce que cela veut dire ? Cela suggère que si l’unité de mesure métrique à été conservée depuis la nuit des temps de manière subtile par des jeux de nombres et de géométrie, c’est parce qu’elle est une des clefs pour comprendre l’univers. (Pour aller plus loin je vous suggère un article du mathématiciens Jean Claude Pérez)

Tu penses que les Égyptiens connaissaient la constante de Planck ?

Oui, c’est une constante en physique quantique (6,626), et je pense pouvoir démontrer que cette constante était connue. Mais je ne présenterai pas cela tout de suite. Il y a avant cette étape plusieurs conférences qui vous amèneront à apprivoiser le système de pensée scientifique et spirituel ancien. Si vous voulez, ce n’est pas parce que je trouve un nombre qui est celui de la constante de Planck que cela suffit à démontrer que les anciens avaient cette connaissance. Il faut contextualiser la présence de ce nombre, et démontrer que sa présence est le fruit d’une construction. En l’occurrence, par construction géométrique et mathématique on peut démontrer que ce nombre fut inscrit dans la pierre. Mais avant d’en arriver là, je vais beaucoup insister sur le fait que les anciens connaissaient tous les paramètres astronomiques et géodésiques de la terre, et qu’ils avaient perçu l’essence structurelle du monde dans lequel nous vivons. C’est un peu comme ci ces anciennes civilisations avaient voulus percer les mystères de la vie, et qu’ils avaient trouvés des réponses cohérentes, convenables et susceptibles de nourrir les besoins essentielle de la civilisation. Par “essentiel” entendez le sens de la vie. Car l’humain ne se nourrit pas de choses matérielles, ils se nourrit de la place qu’il occupe dans le monde et le sens qu’il trouve à la vie. Les anciens avaient trouvé des réponses satisfaisantes qui leurs ont donnés l’énergie d’accomplir l’Égypte et bien d’autres choses.

Qui allez vous invitez ?

Je pense que vous vous doutez que Howard Crowhurst sera de la partie. Je lui dois beaucoup, car son travail comporte les clefs pour comprendre le monde ancien, il a ouvert une brèche que personne n’était parvenu à entrevoir. Et je sais qu’il a beaucoup de choses à nous apprendre. Mais j’ai aussi prévu d’inviter des chercheurs indépendants comme Alan Bécquet, Eric Charpentier, Yann Perrin… et d’autres chercheurs que je n’ai pas encore la chance de connaitre personnellement mais que je trouve passionnant comme Chantal Jègues-Wolkiewiez ou Simon Ferandou dans un registre plus littéraire, mais tout aussi important.

Bien sûr, je souhaite aussi inviter Patrice Pooyard, Erik Gonthier, ainsi que des scientifiques comme Alain Boudet ou Jean Claude Pérez.

Il y a d’autres personnes que j’ai en tête, et je pense aussi donner la parole à des chercheurs indépendants dans le cadre de réunions afin que nous puissions échanger et discuter des découvertes des uns et des autres, et ainsi améliorer la qualité de nos publications. Cet aspect m’apparait primordial, car il y a beaucoup de choses qui sont publiées par des chercheurs indépendants. Et si la recherche universitaire est verrouillée dans bien des aspects, nous autres les chercheurs indépendants risquons d’évoluer en occultant le discernement de notre jugement. Et l’échange, doit nous permettre d’identifier les lacunes de nos recherches, et d’en faire de nouvelles qui sont inaccessible à la recherche conventionnelle.

Interview de Quentin Leplat le 27 mai 2020 et mi à jour le 2 février 2022.

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3 Commentaires

  1. Bonjour Quentin,

    Félicitation pour cette initiative qui va très bien marcher, j’en suis certain.
    Par contre, vous n’avez pas spécifié le lieu de cette salle, est-ce par chez vous ?

    cordialement

  2. bonjour Quentin, c’est une super idée d’ouvrir une salle et d organiser des réunions/conférences/débats… ou sera t elle située ?? Je crois savoir que tu es d’Auvergne … sinon, je suis tes recherches et je trouve ton travail sur les mesures géométriques, passionnant !! Ces civilisations anciennes, les “anciens”,avaient des savoirs très poussés, d’ou tenait il cette connaissance ?? l’étre humain est il fait de géométrie sacrée ?? inviteras tu le grand Graham Hancock , qui fut précurseur dans ce genre de recherches…! Bonne continuation, et bien amicalement.
    Laurence Lécuyer (villemur sur tarn)

  3. Je suis tres admiratif pour les resultats de tous tes etudes. Je t’ai ecris plusieurs fois, mais tu m’a pas repondu. J’ai acheté un de tes livres, qui est errivé et que j’ai lu. Tres tres interessant.
    Je sui architecte et moi aussi je suis un chercheur dans le dommaine des “nombres anciens”.
    Ce type d’etude est le seul qui est très difficile de contester…
    Bonne journée.

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