ORCADES, LA CONNEXION ÉGYPTIENNE. Le film à partir de vendredi 14 octobre 20 h.

Sortie officielle sur le site www.messagedelanuitdestemps.org le vendredi 14 octobre à 20 h. Le film sera accessible gratuitement. Toutefois, les abonnés passionnés pourront bénéficier d’un bonus d’information qui n’est pas dans le film. Ce contenu bonus va plus loin, et pose des hypothèses audacieuses.

Réalisateur : Quentin Leplat, pour l’association ARTEFACT

Durée : 40 minutes.

Images : Carla, Simon, Mathéo, Marion, Quentin, et images libres.

Musique : Johnny Thomas, Patrice Pooyard, et musiques libres.

Découvertes par : Howard Crowhurst, Quentin Leplat et Victor Reijs.

Synopsis

Je me suis rendu en Écosse en 2019. J’avais dans l’idée d’aller visiter le site mégalithique des Orcades. Un site exceptionnel, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Ce qui est rare, c’est que l’on trouve des vestiges de villages des peuples qui érigèrent ces menhirs et dolmens. Mais ces villages furent enfouis, cachés probablement volontairement par ce peuple. Ils ne laissèrent que les cercles de pierre, les tumulus dolmens, des pierres dressées. Curieux et passionné par l’étude des sciences anciennes, j’ai voulu connaitre les diamètres des cercles de pierres de Brodgar et de Stneness. Quelle ne fut pas ma surprise en découvrant que ceux-ci reposaient sur une unité de mesure que l’on retrouve en Égypte (la coudée royale), et une autre bien plus récente : le mètre. En partant de ce simple constat, les indices d’une science commune entre l’Égypte et les Orcades s’avèrent d’une évidence difficilement contestable. Les connaissances que ces peuples purent acquérir dépassent de très loin celles que nous leur prêtons. Le « quadrivium » est une science dont nous avons quelques écrits qui en parlent depuis Pythagore jusqu’à l’époque médiévale. Mais en réalité, cette science est bien plus ancienne. Ces implications sont d’ordres scientifiques et probablement spirituels. Nos ancêtres bâtisseurs semblent avoir trouvé la place qu’ils occupaient dans l’univers.

Quelques découvertes majeures.

Les diamètres des cercles de Stenness et de Brodgar font partie des choses étonnantes que j’ai découvertes là-bas. L’un présente un périmètre de 100 mètres, l’autre d’un diamètre de 200 coudées royales. Ces simples faits, illustrent l’usage de connaissance qui dépassent celles qu’envisagent les archéologues qui ont étudiés les Orcades.

J’ai également approfondi la compréhension du plan d’implantation des monuments mégalithiques qui avait déjà été faite par Howard Crowhurst auquel revient la paternité d’un grand nombre de découvertes.

Schéma du plan d’implantation des mégalithes des Orcades.

Outre la présence d’unités de mesure telle que la « coudée royale égyptienne (0,5236 m) » et le « mètre », on découvre l’emploi évident du « yard mégalithique (0,82944 m) »; mais aussi des mesures anglaises, comme le mile dont la valeur est 1609,344 m. Cette mesure longue distance est présente entre le cercle des Stones of Stenness et celui de Stonehenge. « Je suis bien conscient que cette information étonnante est sujette à discussion, puisque sur de telles distances, les angles sont différents selon que l’on mesure dans un sens ou dans l’autre en raison de la rotondité de la terre. Mais mon expérience du sujet me permet d’assumer cette découverte. Je connais l’importance des mesures anglaises dans les systèmes mégalithiques. Pour être plus claire, sachez que toutes ces unités de mesure font partie d’un seul et même système de pensée scientifique. Ces mesures offrent des proportions permettant de les relier entre elles au travers de constantes astronomiques, géodésiques et de science physique.« 

La distance du nord au sud entre Stonehenge et Stenness est de 540 miles anglais, soit 9 carrés de 60 miles chacun.

Bonus

Pour dépasser un peu le contenu du film, je vous propose un bonus, qui vient appuyer les découvertes que j’ai faites là-bas. Je vous explique aussi pourquoi ces gens utilisaient la géométrie et les nombres. Cette géométrie permet de coder de l’information. Certes, mais pas seulement, elle permet aussi l’expression simple des lois de l’univers, nous faisant prendre conscience d’une organisation bien réglée de l’univers dans le lequel nous évoluons. Certains appellent ces principes « Dieu », d’autres l’appellent « Nature », d’autres ne les voient plus, et en appel alors au chaos et au hasard. Les Égyptiens utilisaient un concept qui se nomme « Maat ». Ce concept est le symbole des lois d’ordres universelles et naturelles.

VOIR LE BONUS

(RÉSERVÉ AUX ABONNÉS PASSIONNÉS) 19,99 € À VIE !

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5 Commentaires

  1. Salut 🙂 ! Scotya, fille de pharaon, si je me rappelle bien ce que dit Michael Tsarion. Mais bon, surtout le kilt écossais est aussi égyptien de même que l’est le boomerang australien, d’après M Strong (Hieroglyphs in Australia).

  2. Excellent Merci
    Il serait intéressant de rapporter ces mesures pour confronter la théorie de la terre globe à la réalité de la terre plate…
    Et vous avez effectuez un super job…

    • Vous voulez certainement dire théorie de la terre plate à la réalité de la terre globe, car les mesures géodésiques confirme bien la rotondité de la terre. Les anciens indiquent justement leur connaissance de la terre sphérique et de la circularité de l’univers comme forme universelle de base.

      • Salut 🙂 !
        Je ne sais si vous connaissez cette série de vidéos autour de Carl Munk : The Code ?
        https://www.youtube.com/watch?v=mXiUv-MLIjU
        Bon, je spoïle : Les mégalithes indiquent par leur forme structurelle non seulement leur emplacement -sur une sphère- mais aussi l’emplacement du suivant, dans l’idée de « systèmes de mégalithes » et en prenant ceux-ci comme pouvant être des multi-machines énergétiques. Et ce à partir des énergies cosmiques, telluriques, des ondes de forme, et comme émetteur de ce qu’il y avait dans « le sarcophage du la « chambre du roi », et aussi booster/énergisant l’eau (arrosage environnant) + pompe bélier –> fabrication d’O2 et d’H2 (salle basse, qui en fait est volumniquement configurée pour la résonance de l’effet pompe-bélier et possiblement, possiblement (2X 🙂 ) l’electrolyse induite de l’eau en O2 et H2. ((–> surpression occasionnelle –> explosion –> distorsion de la structure de la chambre ‘du roi’.
        Carl Munk, dans une autre vidéo, admet timidement avoir été abducté et enseigné sur tout ça (sa théorie développée dans « the Code », pas tous les autres aspects que j’ai cité ) par des zentités familières de cette technologie, dirons-nous. 😉

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