Ce blog vous présente un certain nombre de chose pouvant vous paraitre en décalage avec notre vision de l’histoire de l’humanité. Voici quelques éléments de méthodologie que j’utilise dans mes recherches non conventionnelles.

Méthode intellectuelle :

L’intuition est à la conscience supérieure, ce que l’instinct est au cérébral et le réflexe au corps.(Georges Vermard – La Pyramide Cosmique). L’intuition c’est l’intelligence consciente qui fait un excès de vitesse. C’est donc d’abord l’intuition qui guide mon travail. Vient ensuite la validation méthodique, mathématique, rationnelle pour tenter de vérifier les intuitions.

Ma démarche n’est donc pas purement statistique et matérialiste, je fait appel à l’intuition, le bon sens, et la raison pour découvrir et partager mes idées et réflexions vivantes. Je ne m’appuie pas non plus sur les consensus qui existe en matière d’histoire des civilisations, car ces derniers peuvent nous enfermer dans des cadres de pensée et réflexion étroit.

La perfection n’existe pas chez l’humain, elle n’existe seulement, parfois, dans leur intention. C’est pour cela que si vous recherchez la perfection des mesures et des calculs vous ne pourrez appréhender ce travail que je vous suggère, non pas comme une vérité, mais une piste de réflexion. Ne perdez pas de vue que le nombre PIE est irrationnel et qu’en théorie vous ne pouvez pas définir la taille d’un cercle avec ce nombre, car tout nos instruments de calcul n’intègre qu’une dizaine de chiffre après la virgule. Admettre une marge de flottement dans toute forme de travail humain est un signe de sagesse.

Objectif de mon travail libre :

Ouvrir de nouvelles pistes de recherches et de réflexions, pour tenter de comprendre nos ancêtres. Le croyant cesse de chercher et donc de découvrir, le cherchant, continue de découvrir et de s’enrichir. Je n’ai rien à vendre, seulement à partager. Je n’ai pas de vérités historiques à vous proposer non plus, mais un autre regard, certainement ! Le monde vit à mon sens une crise de conscience et de réflexion, nous nous contentons de croire ce qui nous semble être l’autorité publique ou scientifique. Nous n’apprenons pas à prendre conscience et à réfléchir en dehors des cadres de pensée prédéterminés. Toute notre vie, on nous explique ce que nous devons apprendre, nous devons nous soumettre à cet apprentissage, on nous explique ce qui est bon pour nous. Mais prenons nous le temps de réfléchir par nous même ? Certains médias n’hésitent pas à dire que nous n’avons pas le droit de penser ce que l’on veut !

Les dimensions de la terre et les mesures de distance :

La terre n’est pas une sphère parfaite, son périmètre équatoriale est de 40 075.017 km d’après les éléments de mesure récent. Le périmètre polaire est quant à lui de 40 007.864 mètres. De ces valeurs en découle 5 diamètres :

  • diamètre polaire théorique d’un cercle de 40 007.864 km : 12 734,898 km
  • diamètre polaire réelle 12 713,504 km
  • diamètre équatoriale d’un cercle de 40 075.017 km : 12756,274 km
  • diamètre volumétrique moyen d’une sphère équivalente : 12 743.694 km
  • Et enfin le diamètre moyen des deux diamètres polaire et équatoriale : 12 732,889 km

Cet aspect est important dans les mesures de distance sur de très longues distances qui traversent notamment l’équateur comme c’est le cas en Gizeh et l’Ile de Pâques par exemple. Google Earth et Google Maps utilisant la méthode du rayon volumétrique moyen nous pouvons avoir des erreurs de 0.5 % environ sur certaines mesures.

J’effectue donc certains calculs manuellement avec une fonction Excel qui permet de déterminer la distance entre deux points GPS WGS84 à partir des différents rayons de la terre (polaire, équatoriale, moyen et volumétrique).

=ACOS(COS(RADIANS(90-LAT1))*COS(RADIANS(90-LONG1))+SIN(RADIANS(90-LAT1))*SIN(RADIANS(90-LONG1))*COS(RADIANS(LAT2-LONG2.)))*RAYON DE LA TERRE

 

Les dimensions de la grande pyramide de Khéops.

Je me base sur les mesures effectuées par des scientifiques, et arpenteurs qui ont travaillé sur le sujet. Mais comme leur travail est une modélisation de ce qu’ils estiment être la réalité, je m’appuie sur des équations mathématiques qui permettent de trouver non pas les dimensions exactes de la grandes pyramide à l’époque de sa conception, mais les dimensions voulus par les batisseurs.

En effet, la pyramide est abimée, il n’est plus possible de la mesurer physiquement, on ne peut que modéliser ses dimensions à partir de mesure physique, mais surtout, à défaut de plan, il est possible de définir ses dimensions à partir des constantes fondamentales que sont PIE et PHIE qui ont été intégré dans ses proportions et dimensions. Le plan n’est qu’un ensemble d’équation mathématiques avec des constantes connues.

Le dernier élément important, étant les dimensions de la chambre haute qui est très bien conservé, et dont ls géométrie permet aussi d’en déduire les dimensions de la Pyramide.

J’ai retenu par déduction :

  • Base sans le socle : 230.384 m
  • Base avec le socle : 231.494 m
  • Hauteur sur le socle : 146.608 m
  • Hauteur sur le roc : 147,1316 m

Pour informations, les dernières mesures scientifiques étaient de 146,58 m (Gilles Dormion – la chambre de Kheops – Edition fayard – 2004); 146,60 m d’après Alberto Siliotti – (Les portes de l’aventure – Pyramides Grûnd – 2005 – préfacé par  Zahi Hawas) et de 230.35 mètres pour la base.

D’autres auteurs comme Georges Vermard et Mathieu Laveau propose 230.291 pour la base de la pyramide par déduction mathématique. Cet écart de 9 cm n’est pas incompatible avec les calculs des uns et des autres sur les informations numériques contenus dans l’édifice.

De plus, il n’est pas possible d’intégrer PIE et PHIE à la perfection dans la grande pyramide. Ces nombres irrationnels sont présent avec 3 ou 4 chiffres après la virgule, mais au delà, nous devons faire face à l’imperfection de la chose.

Cette méthode est appliquée pour les autres monuments sacrés.

Principe en architecture sacrée

Je m’appuie ici sur la méthode de Howard Crowhurst qui à démontré que les batisseurs les plus anciens de notre planète, les peuples mégalithiques, avaient adoptés diverses stratégies géométriques.

  • le carré
  • le double carré (2 carrés cote à cote)
  • le triple carré
  • le quadruple carré
  • le septuple carré
  • les triangle rectangle

Tous ces éléments étant généralement disposés en fonction des points cardinaux.

Les mesures de terrain

Ayant la possibilité de voyager, j’utilise toujours au cours de mes voyages quelques outils de mesures : un mètre laser, un mètre classique, une application théodolite pour vérifier les orientations des monuments, et bien sur un appareil photo.

Au cours de mes voyages, j’ai pu constater à de très nombreuses reprises que des bâtiments antérieurs à l’usage de l’unité métrique ont été construit en s’appuyant sur l’unité métrique. En effet, si la pyramide de Khéops abrite l’unité métrique, il est possible de retrouver des dimensions métriques dans de nombreux édifices. Et c’est le cas ! vous le découvrirez en suivant ce blog.

Les constantes et leur décodage :

Si les anciennes civilisations avaient voulu communiquer avec les civilisations du futur, il n’est pas idiot de suggérer qu’ils l’ont fait en s’appuyant sur un langage universelle qui repose sur la géométrie et les mathématiques. Afin de nous interpeller, on peut supposer que ces derniers ont utiliser des nombres qui sont des constantes fondamentales de l’univers. Le nombre PIE (3.14159), le nombre d’or (1.6180339), le nombre d’argent (1.414), le nombre d’Euler (2.718)…. peuvent en toute logique faire partie de ces nombres destinés à nous interpeller.

D’autres techniques peuvent être utilisées, comme la racine carré et la mise au carré d’un nombre. En effet, la racine carré et le carré sont des outils mathématiques qui servent à faire des calculs de science physique, tout comme l’inverse d’un nombre. La gravité n’est elle pas inversement proportionnelle à la racine carré de la distance qui sépare deux objets ?

L’usage de la base 10 et la base 6 est aussi quelque chose qui me semble fondamentale en mathématique et géométrie.